• Relevé de décision de la réunion du 16 février

     

    Présents : Gérard Collet (Collectif/Attac), Ghislaine Morant (Collectif/GFEN 38), Karine Ennifer (Collectif/PG, ICEM), Anne Marie Gueguen (Collectif/PCF), Françoise Parisel (Collectif/PCF), Gilles Larvaron (PS38)

     

    Gilles Larvaron, pour le PS, s’est joint au collectif.

     

    1. Déroulement de la soirée-débat du 22 février

     

    *Accueil : prévoir une fiche où les personnes intéressées peuvent laisser leurs coordonnées pour être informées des initiatives.(Françoise Parisel)

     

    *Introduction présentant les objectifs du collectif, de la soirée et son déroulement.

    5mn Françoise Parisel

     

    *Phase de travail en groupe de 5 personnes : 15 à 20 mn

    Ghislaine Morant pilote et prépare un papier avec la consigne pour chaque groupe.

    Chaque participant du groupe répond à la consigne suivante : Dans le système d’éducation et de formation d’aujourd’hui, citer trois besoins qui, de votre point de vue, ne sont pas satisfaits.

    Un secrétaire note l’essentiel de chaque point développé sur une bandelette.

     

    *Affichage des points essentiels : 10mn

    A l’issue de l’échange, les bandelettes sont affichées en essayant de les classer par thème.

     

    *Le débat en grand groupe : 1h30

    Deux animateurs (Gérard Collet et Ghislaine Morant) et un gardien du temps (Anne Marie Gueguen).

    Partant des thèmes qui ont surgi dans l’affichage, les animateurs, à tour de rôle, lancent un moment de débat par thème et donne la parole à ceux qui la demandent. Priorité à ceux qui n’ont pas parlé. Distribution hommes/femmes.

    A priori, pour pouvoir traiter plusieurs thèmes, on limite le débat à 15mn par thème, et on demande des prises de parole courtes, ne dépassant pas 3 mn.

    Prise de notes : Karine Ennifer et Françoise Parisel.

    Prévoir une personne pour écrire sur papier, au vu de tous,  les idées essentielles qui émergent des échanges.

     

    *Conclusion : 10mn Françoise Parisel

    Point des questions qui n’ont pu être traitées.

    Présentation des suites, dont la proposition d’une initiative publique le samedi 16 avril après-misi, avec travail en ateliers. Deux sujets pourraient être travaillés : le cadre mondial et européen des politiques éducatives ; les propositions et projets éducatifs des syndicats et partis politiques de gauche. Ce travail déboucherait sur une 3ème initiative publique où les partis politiques seraient directement interpellés sur leur projet.

     

     

     

    2- Le matériel

    Karine Ennifer et André Béranger prévoient papier et bandelettes et feutres. Gilles apporte des nappes pour affichage. Anne Marie et Françoise apporte tableau papier, papier, feutres, pâte à coller, skotch.

     

    3-Diffusion de l’appel

    On a oublié d’en parler !

    Chaque organisation utilise son réseau.

    Françoise envoie l’invitation et le texte de l’appel aux médias locaux.

     

    Fait par Françoise Parisel


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  • Préparation du débat du 22 février 2011 à Grenoble

    sur les enjeux de l’Éducation et de la formation

     

    Relevé de décisions de la réunion du vendredi 4 février

    Les présents :Bernard Labouré (Attac), Michaël Goardou (MJCF/collectif), Ghislaine Morant (GFEN), Karine Ennifer (PG/ICEM/collectif), Salvatore Marotta (Collectif), Serge Paillard (SNES/FSU), Jacques Fogliarini (Collectif), Françoise Parisel (PCF/collectif), André Béranger (PAS 38), Jean Roucaute (collectif), Blaise Paillard (FSU), Joëlle Castex (CIRBE), Thibault Michoux (NPA), Gérard Chouteau (Section PCF des universités), Jean Bernard Buy (collectif)

    Excusés : FCPE, Anne Marie Gueguen (PCF/Collectif), Janine Emeyriat (PCF/Collectif), Gérard Collet (Attac/Collectif)

     

    Le cercle des participants s’est élargi permettant de préciser les objectifs du collectif et les modalités de l’organisation du débat, dont celui du 22:

    • Ce débat vise à poser les enjeux de l’Éducation et de la formation, dont les enjeux politiques, dans une perspective de réappropriation citoyenne des ces enjeux. Il n’est pas subordonné aux échéances électorales et ne s’inscrit donc pas dans la campagne électorale des cantonales. Il vise à « reconstruire une nouvelle dynamique de démocratisation » contre les destructions en cours du service public d’Éducation nationale.
    • Il s’inscrit dans la durée, il n’oppose pas mouvement social et enjeux politiques. Il ne se déroule pas à l’écart des luttes sociales, syndicales. Il s’en nourrit pour construire un projet politique pour l’Éducation et la formation. Il interrogera les partis politiques.
    • Ce débat doit permettre de confronter les propositions et projets politiques, d’affronter les contradictions et les désaccords que nous pouvons avoir. Il ne doit pas les occulter.
    • Il a été proposé de fédérer les différents collectifs déjà organisés à Grenoble sur ces questions.
    • Dans la perspective d’impliquer le plus grand nombre de citoyens dans ce débat politique, avec le souci de favoriser l’expression citoyenne et de donner la parole à ceux qui sont confrontés à des situations concrètes dégradées, il importe que les formes d’organisation du débat ne soit pas intimidante. Des propositions ont été faites et adoptées. Elles seront précisées par le groupe de travail du 16 février (voir point 4 ci-dessous)

    La réunion a acté :

    1. Le nom du collectif : « Collectif pour un débat sur les enjeux de l’Éducation et la formation »
    2. La mise au point du texte de l’appel, les premières organisations appelantes (voir l’appel), celles qui doivent consulter leurs instances d’ici mardi 8 février (CIRBE, PAS 38, NPA, ICEM) afin de pouvoir tirer l’Appel le 9 février. Attac participera au débat mais n’appelle pas.
    3. La diffusion de l’Appel lors de manifestation du jeudi 10 février, journée d’action et de grève dans l’Éducation nationale à l’appel de syndicats. Chaque organisation appelante diffuse aussi l’information par ses propres canaux.
    4. La réunion d’un groupe de travail le mercredi 16 février à 14h30 (dans les locaux de la Fédération du PCF, 20 rue Emile Gueymard à Grenoble) pour paufiner la forme d’organisation du débat du 22 février et le préparer matériellement.

     

    Fait par Karine Ennifer et Françoise Parisel

    N’hésitez pas à apporter tous les compléments ou modifications à ce CR que vous jugeriez nécessaires


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